mardi 5 mars 2024

Ode à Queenie (Leica Q type 116)...

Je ne vous ai pas encore parlé de Queenie ? C’est mon appareil photo favori depuis plus de 3 ans. Un appareil que j’utilise au quotidien. En permanence dans mon sac de tous les jours, il ne rate aucun moment. Quelques indices : Il n’est pas très compact, il n’est pas à objectif interchangeable et avec une focale de 28 mm lumineuse et époustouflante.

 


Eh oui ! Queenie c’est mon Leica Q. La première itération de ce boîtier sorti en 2015, nommé aussi Type 116, comporte de nombreux défauts à en croire les dires des photographes exigeants, non sans rapport avec la notoriété de la marque et ses prix prohibitifs qui font que le droit à l’erreur n’est pas permis. Acheté d’occasion, bien entendu.

C’est en 2020, Sur les conseils d’un ami du forum Lumix (Petite pensée pour toi Daniel) que j’ai décidé de l’acquérir et de l’accueillir comme elle est, parce que Queenie est une fille, sensible et tout en discrétion malgré sa corpulence. Je ne lui ai vu que des qualités et la première, d’avoir donné une autre dimension à ma photographie. Sa focale de 28 mm a exercé mon œil très conventionnel de fille pratiquant la photo. Dès la première photo, j’ai aimé ce grand angle et cette optique magnifique.

Ce qui est bien avec Queenie, c’est qu’elle va avec tout, photo de voyage, photo de paysage, photo de famille, Manifestation… Toujours prête. 2 batteries supplémentaires, un jeu de filtres ND, mon mini trépied, le tout dans son petit insert fait sur mesure exprès pour mon petit sac à dos et je pars en vadrouille. 

 

 

Ce que j’aime avec ce boîtier c’est sa simplicité. Depuis plusieurs années, on voit du matériel sortir, de plus en plus performant, avec bon nombre de fonctionnalités permettant une personnalisation de plus en plus pointue, des touches personnalisables à foison, Bref, des modes d’emploi de 250 à 400 pages que très peu de gens lisent d’ailleurs… Avec le Q, le menus est plutôt réduit, le nombre de touches aussi, une seule touche Fn d’ailleurs et c’est suffisant ! De quoi se concentrer sur la photo et rien d’autre. Chaque touche a sa fonction, ni plus ni moins.

Bref, Il est de loin mon objet favori. Maintenant, place aux images.

 







dimanche 25 février 2024

Petite réflexion du soir....

 Je viens juste de me rendre compte que sur les 3 boîtiers photo que je possède, aucun n'a d'écran orientable... Intéressant... ou pas. 




samedi 24 décembre 2022

mercredi 9 novembre 2022

Des fiertés et de la bonne humeur...

 Depuis quelques semaines, je fais de la photo de rue le vendredi matin. Ça n'est pas une activité facile et j'ai l'impression qu'à Chambéry c'est plus dure qu'ailleurs. Les gens fuient l'objectif. Pas simple d'aller au devant des gens pour les photographier, même avec le sourire, beaucoup sont suspicieux, je pense que je ne suis pas assez confiante et ils le sentent. Mais j'y travaille et je persévère. Dans quel but ? j'aime photographier l'humain, j'aime capter l'humeur ambiante et si elle est bonne et intense, c'est encore mieux.

Faire des photos de type reportage, c'est quelque chose que j'adore faire et je vise les manifestations pour m'entraîner.

Il y a quelques semaines j'ai repéré cette affiche.

 
Ça m'avait l'air sympa alors j'ai embarqué Carlton avec son 50 mm et j'y suis allée. Mon idée était de faire les photos dans la manif. Honnêtement, je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi sérieux, ce n'était pas juste quelques jeunes qui défilent mais une véritable organisation avec des associations qui luttent au quotidien pour la cause LGBTQ+
 
J'ai appris que c'était la première pride qui avait lieu en Savoie à Chambéry.

Beaucoup de sourires, de rires et de joie dans cette manifestation mais aussi des témoignages que j'ai trouvé poignants, des jeunes qui racontent leur souffrance dans le quotidien et souffrir parce qu'on est soi-même, pour moi, c'est juste incompréhensible. Le petit plus qui m'a bien fait plaisir c'est que toutes les élocutions étaient traduits en langue des signes.



Beaucoup de jeunes étaient présents dans cette pride dont certains que je connaissais bien mais j'ai aussi croisé des gens de tous âges. j'ai vraiment eu le sentiments que c'était une fête de la victoire, pouvoir faire cette pride et déclarer "Voilà comment je suis moi !", Il n'y avait pas que de l'effervescence et de la joie, il y avait un grand soulagement, le bonheur de pouvoir être enfin soi-même. 
 
Être soi-même c'est quoi ? Cela semble si simple et si compliqué à la fois...  En participant, même de manière un peu détachée à cette pride (ce qui est souvent le cas quand je suis en configuration photographe) je n'arrêtais pas de penser que tous ces jeunes pouvaient être eux-mêmes le temps d'un après-midi qu'ils avaient dû attendre depuis des mois. J'imaginais le temps passé à se préparer, à faire leurs pan-cartes, décider des vêtements qu'ils allaient porter et s'ils allaient réellement les porter et à l'effervescence du matin de manifestation.
 
Mais je pensais aussi qu'une fois le bonheur de cet évènement retombé, Lundi matin, ils devraient retourner dans le monde où leur identité ne serait peut-être pas considérée/prise en compte/mise en attente par la société. Parce que c'est un combat au quotidien avec tellement de questions "Si mon entourage savait qui je suis vraiment, est-ce qu'il m'accepterait comme tel.le ?", "Comment puis-je faire accepter ce qui figure sur mon état civil n'est pas ce que je suis ? Pourquoi faut-il attendre pour que ce soit le cas ?"

Attendre d'être reconnu.e n'est-ce pas comme attendre de pouvoir reprendre son souffle ?

En recherchant un peu sur le sujet, j'ai vu pas mal de réflexions de la part de personnes qui manifestement ne savent pas ce que peut endurer un jeune en questionnement sur son identité, nommant cela comme une "mode", une "lubie"... Même si je suis toujours époustouflée par la capacité de certaines personnes à argumenter sur un sujet dont ils ne connaissent rien, je me dis aussi que la connerie n'a vraiment pas de limite mais c'est assez tranché, je le reconnais.

 

J'ai un peu tardé à rendre ce billet car c'est un sujet que je ne souhaitais pas bâcler. Si on me demande de faire un vœu pour l'humanité, il y a beaucoup de choses que j'aimerais dire mais je je pense que si nous pouvions tous nous accepter comme nous sommes sans jugement et sans doute, je pense que le reste coulerait de source.

Merci à tous pour cet après-midi de bonne humeur et de partage.

Pour que ça continue d'avancer, il est possible de s'informer à l'Association Contact.

Pour voir les photos dans leur intégralité, c'est par là.

mercredi 19 octobre 2022

Régression....? (Canon 5D mark III)

 Dans la série "c'était mieux avant" voici une petite réflexion sur la décroissance. 

Bon, le monde va mal, enfin, l'humanité surtout qui en est la cause. On peut le répéter encore et encore et faire la leçon à qui veut l'entendre que sauver la planète c'est très important, mais la planète n'a pas besoin d'être sauvée. L'humanité par contre...

Je sais que je suis un peu directe mais rien qu'en me levant le matin, je n'ose pas penser à l'impact de mon empreinte carbone pour maintenir mon corps à la bonne température, rester propre, en bonne santé ou me divertir, à ma production de déchets... 

Ma passion la photographie n'est pas non plus une activité bas carbone, il faut produire du matériel indispensable à la prise de vue, cela est un gros investissement et surtout un impact environnemental non négligeable. J'ai déjà dit que je trouvais qu'il y avait beaucoup trop de choix, l'achat d'un simple objet censé nous faciliter la vie est pour moi, une investigation qui prend du temps.

 Bref, la photographie numérique ça coûte et c'est un gros impact sur l'environnement. Mais l'argentique n'était pas vraiment mieux, parce que les produits de développement, le papier pour imprimer les photos, tout cela est aussi énergivore et polluant et je pense d'ailleurs faire des recherches sur ce sujet afin de vraiment trancher cette question de quelle pratique est la plus carbonée. argentique ou numérique ?

En ce qui me concerne, je n'achète que rarement du neuf, voire même pas en très bon état, il arrive que je choisisse un objet que d'autres jetteront alors qu'il fonctionne encore. J'étudie le coût d'une réparation que je prévois de faire à court ou moyen terme, s'il n'est pas très joli (peinture écaillée, boîtier rayé) c'est d'autant plus intéressant pour moi déjà parce que je l'aurais à un très bon prix mais aussi parce que j'ai moins de chance de me le faire piquer, un matos usé n'attire pas la convoitise comme un produit qui a l'air neuf. 

Je lis et j'entends beaucoup de gens dire qu'ils n'ont pas confiance en l'occasion voire de considérer qu'un produit d'occasion, même à l'état neuf et sous garantie devrait être vendu la moitié de son prix, qu'on ne sait pas comment il a été utilisé, bref, tant de bonnes excuses pour acheter un objet flambant neuf qu'on pourra admirer mettre sous vitrine, éviter de sortir quand il pleut pour ne pas l'abîmer, tout le contraire de moi en gros.

Dans mes précédentes recherches de matériel pour remplacer Téodor que j'avais malencontreusement noyé, j'avais quelques critères non négociables mais pour le reste, j'ai décidé d'être ouverte à l'offre et des offres, il y en avait même avec mon petit budget. 

Résultat : un appareil semi-pro vieux de 10 ans avec des objectifs qui sont sorti en moyenne il y a 20 ans et le miracle dans tout ça c'est que tout fonctionne parfaitement.

C'est Carlton. ou plus communément nommé le Canon 5D mark III


Certains prendront cela comme une régression voire pire un retour à l'Âge de Pierre mais en partant du principe que ce n'est pas l'appareil qui fait la photo... Et si vous doutez du résultat... 




Les côtés négatifs :

  • Il n'est pas silencieux : c'est un réflex donc avec miroir et c'est bruyant. Difficile donc de se faire discret. De plus, quand je demande aux gens si je peux les photographier, dès qu'ils entendent le "clac !" ils se barrent même si la photo est loupée.
  • Il est lourd : beaucoup diront qu'ils sont passé à l'hybride pour le poids et j'ai envie de dire qu'ils ont sans doute raison mais ça n'est pas tant le poids qui me dérange, je m'y suis faite. Il tient très bien en main même avec un gros objectif. Pour palier à la fatigue du poignet j'ai opté pour le système capture qui me permet de le fixer à la bretelle de mon sac à dos. c'est vraiment pratique pour avoir les mains libres mais surtout pour ne pas avoir les mains crispées dessus pendant les temps où on ne prend pas de photo.
  • Il est encombrant : On ne passe pas inaperçu néanmoins, j'ai dû changer mes sacs photo car il prend de la place, il ne rentre pas dans le sac moyen, les derniers étant plutôt taillés pour les hybrides, j'ai épluché quelques annonces pour trouver un sac avec un espace modulable. J'ai aussi dû changer mon sac de tous les jours mais celui-ci en avait grand besoin cela dit.
  •  Il n'est pas discret : Pour moi qui aime bien essayer de me fondre dans la masse, c'est raté... On le voit arriver à 10 km, J'ai donc investi dans un téléobjectif pour m'éloigner un peu et capter des photos plus naturelles mais dans une manif avec un objectif plus petit ça passe quand même très bien.

Les côtés positifs :

  • Les photos : la colorimétrie de la marque est reconnue et je commence à comprendre pourquoi. J'ai très peu de retouche sur les fichiers RAW, un vrai plaisir.
  • Ergonomie : Pas 36 boutons de fonction auquel on ne sait plus ce qu'on lui a attribué, il est intuitif, c'est un appareil fait pour les photographes. On s'y fait très vite, un retour en arrière serait compliqué pour moi.
  • La touche AF-ON : Cette touche qui tombe juste bien sous le pouce, je ne sais pas comment j'ai fait pour m'en passer jusque-là. Tant qu'on appuie sur la touche le focus se fait en continu, dès qu'on la lâche, le focus reste où il est même si un élément perturbateur passe devant. Elle était bien sur les autres appareils que j'ai testé mais toujours à un endroit pas très accessible, pas forcément pratique. Bref, j'ai découvert le Grââl des photos nettes !
  • Réactif : Il a peu de points de focus comparé à un hybride mais le focus central et vraiment très très efficace, pour les photos de reportage c'est vraiment un plus non négligeable.
  • Intuitif : Acheté un peu dans l'urgence pour couvrir un évènement, j'ai très peu ramé pour la prise en main. Je ne ne l'avais pas depuis 24h quand je suis partie en mode reportage pour le week-end et je ne m'attendais pas à en sortir autant de bonnes photos.
  •  Autonome : 1200 photos avec une seule batterie !!! Sur un week-end je n'ai pas changé la batterie, j'ai même fait quelques minutes de rush. Avec l'écran éteint et le viseur optique, il est très peu énergivore. Lancée avec mes habitudes de l'hybride, j'avais acquis 3 batteries supplémentaires pour être sûre de ne pas tomber en rade, j'en avais toujours plein les poches, j'en ai même perdu quelques-unes. Sur mon X-T2, il m'aurait fallu 4 batteries pour arriver à ce résultat. 
  •  Increvable : Ce modèle a plus de 200 000 déclenchements à son actif et à part la peinture écaillée à l'arrière, il semble encore prêt pour de nombreuses heures de shooting. Pas le moindre signe de faiblesse, un vrai tank...
  • L'aspect financier : Là où le dernier cri hybride coûte vraiment un rein le réflex se défend vraiment bien surtout en occasion. L'importance n'est pas vraiment le boîtier mais bien les optiques qu'on met dessus et pour cela, les prix des anciennes optiques haut de gamme de la marque sont vraiment intéressants. je cite par exemple le 70-200 f4 stabilisé qui est de loin mon télézoom préféré. Son équivalent en hybride même d'occasion vous coûtera au moins le double voire le triple de celui-ci.
  • Évolutif : Si l'hybride reste tout de même sacrément confortable et que l'achat d'un boîtier de la gamme R finit par titiller, il y a la possibilité d'utiliser les objectifs via une bague d'adaptation très efficace d'après ce que j'ai lu. Pour cela, je trouve que Canon a fait très fort. N'étant pas une furieuse adepte du piqué chirurgical, je me vois bien évoluer vers ce type de boîtier en gardant mon parc objectif et ça, c'est une vraie possibilité. Certains objectifs de la marque fonctionnaient sur des boîtiers argentiques et je trouve l'idée de pouvoir encore les utiliser sur un matériel récent absolument fabuleuse.
  • Le viseur optique : C'est tellement reposant pour les yeux... Viser avec un seul œil plusieurs heures d'affilée, même en alternant, me donnait l'impression d'avoir les yeux plein de sable à la fin de la journée. Mine de rien, en hybride on fixe un écran aussi qualitatif soit-il. Le viseur électronique est bien pratique sur beaucoup de points mais je le trouve fatigant.

Conclusion : 

Il n'est pas nécessaire de posséder le dernier cri pour se faire plaisir. Bon, je n'adhère toujours pas à la philosophie de Canon qui sectorise ses boîtiers et objectifs en ne réservant que le haut de gamme au plein format par exemple. Contrairement à Fuji où quelque soit la gamme de boîtier, le capteur est le même sur toute la gamme, Canon baisse la qualité, retire des fonctionnalités, fait des sélections à tel point que pour avoir un boîtier complet, il faut y mettre le prix. Néanmoins, sur un matériel de 10 ans avec des optiques qui en ont 20, la qualité reste au rendez-vous et c'est peut-être ce qui fait la force du boîtier réflex : moins on y met d'électronique, plus il dure ? 

Canon a annoncé la fin des boîtiers réflex et je pense que certains puristes grincent des dents mais avec des boîtiers aussi bien construits, je pense que le marché de l'occasion va devenir vraiment très intéressant car ce matériel que plus personne ne veut va se vendre à des prix défiant toute concurrence.


mardi 31 mai 2022

Le choix c'est vraiment cruel...

Je crois que c'est Arnaud Thiry qui disait "usez votre matos parce que pour réussir ses photos il faut aller les chercher !" Il a oublié d'ajouter "si vous êtes maladroit faites attention où vous mettez les pieds" 😂

Voilà donc, j'ai dû dire Adieu à mon petit Téodor (entendez mon Fuji X-T2), le pauvre n'a pas pu survivre bien longtemps et j'aimerais vous dire qu'il a succombé à sa belle mort après une longue vie de bons et loyaux services, mais non. Pour tout dire, ce fût plutôt un homicide involontaire puisque je l'ai noyé malgré moi.. Bref, une rivière + un pas mal assuré = une catastrophe. Plouf...

Quelques jours dans le silicate et un voyage sans retour au SAV plus tard : Adieu Téo, je t'aimais bien... Bon, je n'ai pas pleuré, je vous avoue, il n'était pour moi qu'un outil, rien de plus.

 

Une nouvelle question s'impose donc à moi, par quoi puis-je remplacer ce boîtier et son copain l'objectif ? Par un Téodor II ? Un bidule ? Truc ? Rien ? Cela me semble peu probable. C'était celui dont je me servais pour la photo de type reportage, il était solide, à l'épreuve de la pluie, un bon baroudeur, pas celui que j'utilisais le plus mais bien pratique quand même.

Cette question est sans doute la plus posée dans le milieu photographique. Il suffit de suivre quelques youtubeurs, ceux qui ne sont pas portés sur le matériel finissent tous ou presque par sortir une vidéo, cédant ainsi à la pression de leurs abonnés pour dévoiler ce que contient leur sac photo et donner quelques conseils d'achat. 

Et pourtant, des vidéos matos, il y en a plein.

J'ai quelques "copains" photographes sur la toile certains ont été de précieux alliés dans ma progression, Je retiens beaucoup d'échanges riches, cultivés, bienveillants sur mes photos ainsi que des transactions très agréables sur du matériel d'occasion.

Malheureusement, il y en a d'autres, moins bienveillants qui trainent du côté des questions matos... La première question qui m'a été posée après la phrase classique "vraiment désolé pour toi" (entendez "M'enfin ! se balader avec l'appareil au dessus de l'eau !!) "Par quoi vas-tu le remplacer ?" La question est aussi vaste que fréquente! Parce que sur ces forums, le matériel occupe une grande place dans les discussions : "quel objectif acheter ? Quel boîtier me recommandez-vous ?" et ma question préférée "Que dois-je choisir entre le matériel X ou Y ?" Ce qui débouche rarement sur une réponse en rapport avec de dit matériel X ou Y.

Et j'imagine que ça n'est pas différent si vous posez une question similaire pour le choix d'un vélo ou d'une corde à sauter sur un forum dédié.

Pour ma part, j'ai posé la question : "entre le boîtier X et le boîtier Y qui sont tous les 2 vieux de 10 ans, lequel a le meilleur autofocus ?" La réponse ne s'est pas faite attendre bien longtemps : Je dois choisir l'appareil Z parce que c'est le meilleur autofocus du marché... Mais 3 fois le budget que je m'étais fixé, oups ! C'était juste pour m'amuser, j'avoue.

Mais pourquoi sommes-nous incapables de choisir nous même un objet ? Trop de choix peut-être ? Probablement. Société de consommation, croissance, s'offrir un nouvel objet c'est exaltant... 

Faut-il écouter le chant des dernières technologies toujours plus performantes ou prendre une occasion plus ancienne d'un matériel qui a déjà fait ses preuves ? Pour moi, ce serait plutôt le chemin inverse. J'ai un projet, de quel type d'outil ai-je besoin pour le mener à bien ? Parce qu'on est d'accord que l'appareil et l'objectif qui est dessus ne sont que des outils pour exercer notre créativité ? Est-ce que la technologie sauvera mes photos ? J'en doute.

Alors c'est quoi la réponse ? 42...

Bon alors, j'ai pris quoi ? Je vous le dirai la prochaine fois parce que ce billet risque d'être trop long si je veux vous donner les raisons de mon choix.


vendredi 11 février 2022

Free Olivier Dubois

 

Tout est dans la vidéo. Partagez, likez, faite ce que vous voulez mais agissez. Parlez-en autour de vous. Je suis toujours admirative de ces personnes qui risquent leur vie pour exercer leur métier afin de nous transmettre des informations, des images qui font l'histoire du monde. En espérant qu'Olivier rentre auprès de sa famille très prochainement. #freeolivierdubois